NOM : Mathis
PRENOM : Etan
SEXE : Masculin
ÂGE : 17 ans
LIEU DE RESIDENCE : Glasgow
DANS QUELLE MAISON NE VOULEZ-VOUS PAS ALLER ? : Poufsouffle
ANNEE SCOLAIRE : 7eme
PARRAINAGE : Pistonné
AVEZ-VOUS LU LE REGLEMENT ? : Double compte de Joshua ^^
NATIONALITÉ : Ecossais
POSTE DE PRÉDILECTION : Poursuiveur
PERSONNAGE
PHYSIQUE : Etan est un garçon de taille moyenne, il en va de même pour sa corpulence, ni trop grand, ni trop gros il ne fait pas se retourner les gens sur son passage dans la rue. Ses cheveux sont de base marrons mais il n'aimait pas ce terne et a donc choisi de les colorer au gré des sorts qu'il apprenait à l'école, ses yeux, au contraire, sont de la même couleur qu'à sa naissance puisqu'ils ont eu la chance de lui plaire. Il sourit en permanence et est capable de faire passer beaucoup d'émotions par ce simple geste. Vestimentaire parlant il aime les chemises et les T-shirt en plus de jeans, lorsqu'il ne porte pas son uniforme bien sûr.
CARACTERE : Etan est un garçon qui aime parler, raconter des débilités, se moquer des gens qu'il ne porte pas dans son cœur. C'est un garçon très sociable et parfois même un peu trop bavard avec les gens qu'il ne connait pas encore, même si, lorsqu'on l'a vu une fois on ne l'oublie pas aussi facilement. Il a souvent tendance à se passer la main dans les cheveux surtout lorsqu'il est stressé, pendant un examen par exemple. Au niveau des règlements il les respecte bien souvent même s'il passe pour quelqu'un qui les méprise.
PASSE
HISTOIRE : Cette histoire commence dans un hôpital moldu blanc aseptisé, les néons défilent alors qu'une femme est emmenée en brancard vers les urgences, les brancardiers courent à travers les couloirs, à côté de la femme un homme d'environ 25 ans essaye de garder le rythme, une porte qui s'ouvre, "monsieur restez à l'extérieur s'il vous plait". Puis on le fait rentrer, de deux âmes la famille passe à trois, une naissance banale.
Quelques années plus tard Etan a 7 ans, une petite sœur est venu le rejoindre dans la maison familiale du nord de l'écosse, elle n'est pas bien grande, mais sent bon l'esprit de famille, la neige a recouvert les environs, les deux yeux du garçonnet s'émerveillent à la fenêtre devant cette blancheur infinie, dans le four la dinde cuit lentement, son odeur mêlée à la résine de sapin emplit le rez-de-chaussé, ce soir c'est noël. D'un coup il est soulevé de la chaise dans laquelle il s'était installé, son père est rentré, contrairement aux pères de ses amis le sien est un sorcier, il travaille au ministère, dans un bureau quelconque, mais qui parait sublime aux yeux de son fils, même s'il sait qu'il ne doit le dire à personne, pas même à la maîtresse quand elle leur demande en début d'année. L'école du village n'est pas très loin de chez lui, à cette pensée le goût des bonbons de gouter d'avant les vacances d'hiver lui revient en bouche, ce soir aussi il y aura des bonbons. Sa mère l'appelle alors, elle elle n'est pas sorcière, elle travaille dans le restaurant du village, c'est elle qui prépare les plats, mais ce soir elle est restée à la maison pour s'occuper de sa famille, avec toute l'application de son jeune âge Etan répartit les pommes dans le plat avant de le mettre au four. Il aimerait bien tourner les boutons pour une fois, sa mère lui montre comment faire. La journée passe, et la soirée, une soirée formidable, sous le sapin Etan n'a qu'un paquet, et puis son père arrive avec une petite boule de poils dans les bras, un chaton, un chaton rien que pour lui, dans le ciel les étoiles s'allument une par une pour refléter la lumière qui vient dans les yeux du garçon. Une nuit calme s'annonce, dans les bras d'un petit morceau de vie.
La vie a continué dans le village écossais, rien n'a changé dans la vie d'Etan, et un jour, un jour d'été où le soleil daigne même apparaitre dans ces contrées, un hiboux arrive dans la maison, oh bien sur ce n'était pas le premier, mais celui-ci n'était pas pour son père, non c'était pour lui, au dos de l'enveloppe il reconnait le signe de Poudlard, enfin il allait aller dans cette école dont son père lui avait fait l'éloge, il pensait à ses camarades d'école, ils allaient tous au collège à la rentrée, tous sauf lui... dans la version officielle il allait dans un internat et ne rentrerait que pendant les vacances, en réalité c'était à peu près ça, mais ce n'était pas l'école classique qu'ils avaient décrit, non, c'était une école de magie. Alors que sa mère le câlinait ses yeux se reposèrent sur l'emblème de l'école, blaireau, aigle, serpent et griffon, où serait-il envoyé ?
Test RP - Elève : Le soleil commençait à décroitre alors que le train continuait son chemin au travers du pays écossais. Le compartiment dans lequel se trouvait Etan se réveillait peu à peu, les quatre garçons qui y étaient se levaient en s'étirant pour enfiler leurs uniformes, dans quelques dizaines de minutes ils allaient arriver à pré au lard.
Les premières années suivirent un professeur qui les emmena vers les barques, les yeux encore plein de sommeil du garçonnet s'illuminèrent à la vue du château brillant de mille feux et du reflet de la lune sur le lac sur lequel ils dérivaient lentement aux seuls bruit des rames sur la surface lisse et des chuchotements émerveillés des jeunes élèves.
Même si le petit écossais n'était pas vraiment timide l'entrée dans la grande salle de Poudlard le laissa muet, des centaines d'élèves étaient assis à quatre tables différentes et regardaient les nouveaux comme s'ils étaient au zoo, le rendu était presque aussi impressionnant que de voir les professeurs les regarder avancer, probablement à observer qui ils auraient à subir durant l'année. Les élèves commencèrent à défiler sous le choixpeau, chacun allant ensuite rejoindre une table guidés par les applaudissements des plus anciens surement assez fiers de leur maison pour applaudir quelque chose qui n'était même pas un accomplissement. Lorsque les M arrivèrent Etan commença à se sentir stressé, et lorsqu'il dut s'avancer devant l'école entière il crut qu'il allait s'évanouir, mais en réunissant son courage il réussit à avancer jusqu'au tabouret et à se placer à sa table sans trébucher, et sous les applaudissements.